A son épouse Jocelyne Ramsay et parenté
Nous offrons nos plus sincères Condoléances à son épouse Jocelyne Ramsay et à toute la famille . de Ghislaine et Bertrand Labbé. East-Angus.
Ghislaine et Bertrand Labbé, le 10 décembre 2013
Mme Jocelyne Ramsay-Labbé
Salutations, Jocelyne J'apprends, au cours d'une visite chez mon frère Jacques Faucher qui habite Victoriaville et qui reçoit le journal La Tribune, le décès de Richard survenu le 2 décembre. Triste nouvelle qui me touche. Richard était un ami d'enfance. Je l'ai revu lorsque mon père est décédé en 1980 et à quelques reprises par la suite quand j'allais voir ma mère : il travaillait au Bureau de poste. Nous étions dans la même classe, en première année, en septembre 1949, au couvent des soeurs à East-Angus et ensuite au Collège des Frères. Après notre 7ième année, nous sommes tous les deux allés au Séminaire de Sherbrooke, pensionnaires: Richard n'a fait qu'une année ou deux, si je me souviens bien.Il est retourné à East-Angus. Moi je suis resté 8 ans au Séminaire...et toujours pensionnaire. Mais on s'est revus très souvent, surtout pendant les vacances des Fêtes et les vacances d'été.Il y avait le sport, la musique, surtout à l'époque des Corvair (dont j'aurais bien fait partie avec mon saxophone n'eut été des études et du pensionnat) avec les amis Richard et Pierre Phaneuf, Jean-Marc Bisson et "Boogie Gilbert (dont j'ai oublié le prénom.Il y avait aussi plus tard, à l'orgue, un musicien qui était aveugle que j'ai moins connu. Bref nous étions restés de bons amis. ...et permets-moi, Jocelyne, de te tutoyer,...mais je me souviens très très bien de toi! La vie nous a emmenés chacun de notre bord, si on peut dire, mais les souvenirs de cette époque, de notre jeunesse alors que nous apprenions "à vivre en vivant", avec nos rêves, nos ambitions et bientôt nos énergies de jeunes adultes, sont impérissables et profondément ancrés dans ma mémoire. Est venue ensuite la famille et tout à coup nous nous sommes tous retrouvés grands-pères et grands-mères! Je tiens à t'offrir mes sincères sympathies, ainsi qu' à tes enfants et tes proches. Je peux imaginer la brisure et la déchirure créées par ce départ qui survient beaucoup trop tôt! Je comprends par la notice ci-haut qu'il y eut une phase palliative pendant laquelle, j'espère, la souffrance n'a pas été trop vive. Je me sens interpelé... Comment ne pas l'être! En condoléances, Carol Faucher Longueuil, 260 St-Charles Est.
Carol Faucher, le 27 décembre 2013